Art, design et architecture

Morgane, muséologie

“J’ai passé 4 années à l’Ecole du Louvre avant de quitter l’établissement à l’issue de mon année de M1. J’ai par la suite déménagé à Lille et cherché à m’insérer dans la vie active !”

Margaux, mention espace

“J’ai intégré un DN MADE espace, mention élaboration d’espaces et mutation des territoires, à Nevers à l’Ésaab (École Supérieure d’Arts Appliqués de Bourgogne) en trois ans. J’ai fini ma troisième année au mois de juin.”

Élisa, musicologie

“Après mon bac, j’ai intégré une faculté de musicologie à Dijon. Et j’ai suivi en parallèle des cours de formation musicale, de musique actuelle, de batterie et de jazz en école de musique.”

Manon, audiovisuel

“Après le Bac, j’ai fait un BTS audiovisuel en production à l’École EMC de Malakoff. J’ai suivi un cursus en alternance : 2 semaines à l’école et 2 semaines en entreprise.”

Yann, architecture

“Juste après mon Bac S au lycée Catherine & Raymond Janot, je me suis dirigé vers l’EPFL (école polytechnique fédérale de Lausanne) pour suivre une formation d’architecte. Pour l’instant je fais ma 3ème année de bachelor (2 ans à l’EPFL et 3ème année à TUDelft aux Pays-bas pour faire mon année d’échange).”

Marine, design d’espace

“Après mon bac ES, je suis allée à l’Académie des Arts Appliqués de Dijon qui est un cursus de 3 ans. J’ai fait une première année de remise à niveau et ensuite à partir de la deuxième année je me suis spécialisée en design d’espace. Je suis actuellement dans ma 3ème et dernière année de bachelor dans cette école.”

Lucas, audiovisuel

“J’ai fait une licence à l’ESRA Paris en audiovisuel. Il y avait des Travaux Pratiques (TP) et des cours théoriques, avec des tournages de clips, de publicités et de courts métrages de plus en plus longs au fil du temps.”

Nicolas, musicologie

“J’ai fait 6 mois de Prépa PCSI avant de réaliser que la musique me faisait vivre. J’ai alors obtenu un Diplôme d’Études Musicales (DEM) au Conservatoire à Rayonnement Départemental (CRD) d’Auxerre. Puis j’ai effectué des études et une préparation de concours au Conservatoire à Rayonnement Régional (CRR) de Saint-Maur-des-Fossés (94). J’enseigne le trombone à l’école de musique de Migennes et au Conservatoire de Joigny.”

Morgane, muséologie

“L’enseignement y est d’une grande qualité, l’ambiance entre étudiants est incroyable d’entraide et de soutien et l’histoire de l’art est un domaine qui m’a toujours passionnée : quoi de mieux donc que d’étudier au sein du Musée du Louvre !”

Margaux, mention espace

“J’ai été attirée par le monde de l’architecture d’intérieure, mais grâce à la diversité des projets montés, j’ai découvert d’autres domaines qui m’intéressaient bien plus. C’est une petite école, donc il y a un vrai suivi par les professeurs, et tout le monde se connaît.”

Élisa, musicologie

“Le parcours littéraire me plaisait énormément, mais jouant de la batterie depuis 10 ans, j’ai décidé de suivre ma première passion. Ce qui m’a le plus plu pour cette première année : les matières diversifiées, un emploi du temps complet mais organisé, l’ambiance.”

Manon, audiovisuel

“J’ai choisi ce parcours en plan B. Je souhaitais devenir comédienne et je réussis maintenant à en vivre, c’est ma profession. Mais, à 18 ans, je ne voulais pas me lancer dans la vie active avec uniquement le Bac comme diplôme si jamais la comédie ne fonctionnait pas pour moi. J’ai donc décidé de rester dans le domaine audiovisuel avec un BTS en production. La production est un domaine qui m’attirait également.”

Yann, architecture

“J’ai choisi l’EPFL pour plusieurs raisons. La première, je voulais avoir un diplôme d’architecture avec des notions d’ingénierie civile (le diplôme délivré étant un “Master of science : architect”). La deuxième, je voulais intégrer une école d’architecture de niveau européen voire international, et pour finir, j’avoue que le campus ne m’a pas laissé indifférent…”

Marine, design d’espace

“J’ai choisi le parcours du design car cela m’a toujours intéressée de créer de nouvelles choses et d’avoir pleins d’idées variées à tout moment. De plus, ce que j’aime c’est que, suite à ce parcours, je souhaiterais être architecte d’intérieur et dans ce métier il n’y a pas un seul projet qui se ressemble. On est tout le temps amené à du nouveau.”

Lucas, audiovisuel

“J’ai choisi ce parcours parce que je veux travailler dans le cinéma. Ça me semblait intéressant. Et c’est toujours mieux de travailler dans un domaine qui nous plaît.”

Nicolas, musicologie

“La musique est la seule perspective d’avenir qui ne m’angoisse pas. Le métier, bien que difficile/hasardeux/précaire, me garantissait une vie mouvementée, hors des bureaux (ce que je ne veux pas). Et la musique est vraiment une passion, je ne mesure pas la chance que j’ai de ne pas avoir l’impression de travailler. (Bien que la musique soit un travail et une discipline très exigeante, demandant une pratique régulière et intense pour être réalisée.)”

Morgane, muséologie

“Je suis en ce moment agent d’accueil et de surveillance au Musée d’Histoire Naturelle de Lille.”

Manon, audiovisuel

“Je suis comédienne. Je suis représentée par une agence artistique de comédiens, je passe des castings et si je suis sélectionnée je suis par la suite en tournage.”

Yann, architecture

“Le métier d’architecte consiste à imaginer des espaces correspondants à divers programmes (musées, logements, écoles, bâtiments privés ou publics…), de les communiquer au maître d’ouvrage puis d’en superviser le chantier.”

Nicolas, musicologie

“Enseignant artistique en Trombone et Tuba : j’enseigne un instrument ainsi que la musique à des élèves.”

Morgane, muséologie

“Je compte tenter le concours territorial d’Attaché de Conservation du Patrimoine pour me concentrer sur la conservation des objets de musée.”

Margaux, mention espace

“Je me réoriente pour intégrer une licence SVT, donc dans cinq ans je me vois en fin d’études.”

Élisa, musicologie

“Musicienne professionnelle (batterie, percussion) ou professeur.”

Manon, audiovisuel

“J’espère évoluer, et me faire un nom dans ce domaine.”

Yann, architecture

“Je ne sais pas exactement où je me verrais après mon diplôme de Master, j’aimerais soit intégrer une grande agence d’architecture ou créer ma propre agence.”

Marine, design d’espace

“Dans 5 ans, je me vois salariée avec une architecte et plus tard, avec l’expérience, pourquoi pas avoir ma propre entreprise.”

Lucas, audiovisuel

“Peut-être faire un master à la FEMIS si je suis pris. J’aimerais être réalisateur dans l’idéal. Mais dans un premier temps j’aimerais être régisseur/assistant réalisateur sur des courts et des longs métrages professionnels, mais aussi sur des clips et des publicités. Et j’aimerais aussi travailler à la télévision, dans la retransmission sportive (catch, football et boxe particulièrement).”

Nicolas, musicologie

“Difficile de savoir. Dans tous les cas je me vois encore en mouvement (et tant mieux).”

Élisa, musicologie

“J’aurais au moins fait trois stages en parallèle de ma L1, mais les conditions sanitaires m’en ont empêché.”

Manon, audiovisuel

“Bonne question, je ne sais pas.”

Lucas, audiovisuel

“Un boulot plus conventionnel. Je ne sais pas quoi.”

Yann et Nicolas ne changeraient rien

Musicologie

Théâtre, Musique, Danse, Arts du cirque, Histoire des arts, Cinéma-audiovisuel, Langues, Littérature et cultures étrangères

Architecture & Design

Histoire des arts, Arts plastiques, Mathématiques, Histoire-géo, Géopolitique et sciences politiques, Physique-chimie

Remarque de Yann :

“Pour étudier l’architecture il n’y a pas de spécialités indispensables mais certaines sont un plus pour passer l’entretien d’admission en France : comme Arts-plastiques et Histoire des arts. Pour ce qui est du double-cursus architecte-ingénieur (en France) ou Écoles polytechniques à l’étranger comme l’EPFL ou TUDelft : privilégiez Maths et Physique-chimie”

Remarque de Marine :

“Personnellement je pense que les mathématiques restent une matière indispensable pour tout.”

Audiovisuel

Théâtre, Histoire des arts, Cinéma-audiovisuel, Histoire-géo, Géopolitique et sciences politiques, Langues, Littérature et cultures étrangères

Morgane, muséologie

“La charge de travail était vraiment importante, mais loin d’être insurmontable. Il s’agit d’être organisé(e).”

Margaux, mention espace

“Si l’organisation est bonne, la charge de travail n’est pas si intense que ça. Mais il ne faut pas attendre la dernière minute pour se mettre au boulot.”

Élisa, musicologie

“La charge de travail a été différente selon les semestres. Le premier était très chargé car il fallait s’adapter et faire face aux changements de méthodes. Le second semestre était complexe car le niveau final attendu était très haut. Les cours à distance n’ont pas toujours été mes alliés.”

Manon, audiovisuel

“Je suis quelqu’un de très travailleur et très organisé. Je notais chaque devoir dans mon agenda malgré la sonnerie, je prenais le temps de le faire sinon on ne s’y retrouve plus. Il faut savoir faire ses devoirs en amont et ne pas se retrouver avec une énorme quantité de travail la veille pour le lendemain à 23h.”

Yann, architecture

“À l’EPFL la charge de travail est très importante (car il y a cours de 8h à 18h chaque jour sans compter le projet d’architecture qui se fait souvent une partie de la nuit) il faut donc être méthodique pour s’organiser au mieux et ne pas tarder à apprendre ses cours dès le début du semestre. Mais pour t’aider, il y a plein de solutions qui existent : le tutorat, le mentorat, etc…”

Marine, design d’espace

“La charge de travail est supportable dans mon cas si on sait bien s’organiser en se faisant un planning de travail.”

Lucas, audiovisuel

“C’est tranquille. C’est surtout du travail personnel.”

Nicolas, musicologie

“Intense. La musique se pratique tous les jours (même en vacances au risque de perdre du niveau ou de perdre simplement du temps). Je passe mes journées en semaine dans les différents lieux où j’exerce de 9h à 19h en moyenne (un soir jusqu’à 17h mais un autre jusqu’à 23h)Le samedi matin je donne mes cours à Joigny (donc je me déplace en train) et je finis vers 13h. Ensuite je vais répéter avec les différentes formations musicales auxquelles j’appartiens (orchestres, groupes etc…) ou je travaille mon instrument. Le reste du temps je fais mes devoirs d’étudiant, je donne aussi des cours particuliers, je prépare la semaine d’après et mes cours etc…En bref : j’y consacre une partie énorme de mon temps.”