Présentation des personnes ayant témoigné

En cliquant sur les images, vous pouvez accéder aux témoignages complets de chaque personne (pas encore activé).

Maud

  • Professionnelle
  • 26 ans
  • Bac pro secrétariat, BTS en communication
  • Créative, curieuse et altruiste
  • Témoignage déposé en 2021

Roxane Verse

  • Etudiante
  • 20 ans
  • Lycée Pierre Larousse (Toucy)
  • Bac L, en troisième année à l'école du journalisme de NIce
  • Curieuse, passionnée et entêtée
  • Témoignage déposé en 2021

Gaëlle Mathieu

  • Etudiante
  • 21 ans
  • Lycée Chevallier d'Eon (Tonnerre)
  • Bac S, DUT puis licence professionnelle de communication. Actuellement en M1 de communication à Sup de Pub
  • Créative, passionnée et extravertie
  • Témoignage déposé en 2022

Jessy Doin

  • Professionnel
  • 29 ans
  • Lycée Chevalier d'Eon (Tonnerre)
  • Bac ES, DUT et L3 de commerce, master de communications (INSEEC Paris, M2 au CELSA). Actuellement directeur de la communication et des partenariats du Club des juristes
  • Déterminé, curieux et idéaliste
  • Témoignage déposé en 2022

Laura Bardiot

  • Etudiante
  • Lycée Pierre Larousse (Toucy)
  • Bac ES, L2 de licence information communication (Dijon)
  • Remplie d'humanisme, grande sentimentale et sympathique
  • Témoignage déposé en 2021

Anaëlle

  • Etudiante
  • 23 ans
  • Lycée Pierre Larousse (Toucy)
  • Bac L, licence et master de communication (Dijon)
  • Témoignage déposé en 2022

Contenu des témoignages

Maud, étudiante en BTS Communication

J’ai réalisé un BTS en communication que j’ai obtenu. J’aurai voulu poursuivre pour me spécialiser mais je n’ai pas été retenue pour des licences. Je m’orientais sur l’événementiel.

Roxane Verse, étudiante à l’Ecole de journalisme de Nice

Pour le moment, je n’ai étudié qu’à l’Ecole du Journalisme de Nice, où je fais ma troisième et dernière année. Je l’ai commencé directement après l’obtention de mon bac.

Gaëlle Mathieu, étudiante en Communication Globale et Stratégie des Marques à Sup de Pub Paris

J’ai débuté mes études par un DUT Métiers du Multimédia et l’Internet à l’IUT de Dijon, LP Métiers de la Communication mention Chef de Projet à l’IUT de Troyes,. Actuellement, je suis à Sup de Pub en Master 1 Communication Globale et Stratégie des Marques.

Jessy Doin, Responsable de la communication pour Le Club des juristes

DUT Techniques de Commercialisation à l’IUT d’Auxerre puis Licence Responsable du Développement commercial chez Pigier Troyes puis Master 1 Communication Interne et Institutionnelle à l’INSEEC Paris puis Master 2 Communication Interne et Institutionnelle à l’INSEEC Paris et enfin Master 2 Communication des Entreprises et des Institutions au Celsa.

Laura Bardiot, étudiante en Licence Information et Communication à l’IUT de Dijon

J’ai effectué ma première année en Licence information communication à Dijon à la suite de mon bac. Enfin avec cette année si particulière, nous avons eu intégralement cours à distance, ce qui n’a pas facilité l’adaptation au système de la fac.

Anaëlle, étudiante en Master 2 Communication Numérique des Organisations à l’IUT de Dijon

Après mon bac littéraire, je me suis dirigée vers une licence Sciences de l’information communication à Dijon.  Je me suis placée dans la continuité de cette formation puisque j’ai intégré le Master 1 Sciences de l’information communication et enfin le Master 2 Communication Numérique des Organisations.

Maud, étudiante en BTS Communication

J’ai choisi ce parcours car je cherchais une orientation portée sur la créativité et le suivi de projets. J’ai apprécié le BTS pour la partie stage qui m’a permis de disposer d’une première expérience professionnelle.

Roxane Verse, étudiante à l’Ecole de journalisme de Nice

J’ai d’abord découvert ce métier en 4e, quand on me l’avait présenté en classe. On en avait fait le portrait d’une profession où on reste majoritairement sur son ordinateur. Moi, adolescente, et addict aux écrans, je me disais que ce métier était parfait pour moi ! Au fil des années, j’ai aussi compris que c’était la seule profession qui conciliait tout ce que j’aimais faire dans la vie : écrire, découvrir, parler, photographier … Maintenant, je me rends compte que ce métier est bien loin du portrait qu’on m’en avait fait lorsque j’étais au collège ! C’est une profession de terrain, où il faut jongler entre le commerçant du coin, le manifestant qui revendique ses droits : en somme, les histoires bouleversantes des uns et des autres. Certes, mon ordinateur est mon outil de travail, mais je passe plus de temps face à mes interlocuteurs que face aux écrans. Et c’est bien plus intéressant comme ça !

Jessy Doin, Responsable de la communication pour Le Club des juristes

J’ai toujours été curieux de comprendre comment le monde fonctionne. Mais pour le savoir, je suis persuadé qu’il faut très vite se confronter à la vie active, au monde du travail. C’est pour cette raison que l’alternance, de mon DUT jusqu’à mon dernier master, à été la meilleure manière d’appliquer ce que l’on m’a enseigné dans la vie de tous les jours.  Mais cette même “vie de tous les jours” m’a également permis d’affiner ma vision des choses, de me forger un avis sur l’actualité et d’essayer de fédérer autour de grands projets qui me tiennent à cœur (associatifs, professionnels, culturels…).

Gaëlle Mathieu, étudiante en Communication Globale et Stratégie des Marques à Sup de Pub Paris

Je souhaitais découvrir les métiers du web. Par la suite, j’ai constaté que je souhaitais m’orienter dans le graphisme, et mettre à profit mon attrait pour le design. Par ailleurs, j’ai continué dans le domaine de la communication, afin de pouvoir porter une réflexion derrière chaque rendu de projet, et proposer un visuel plus pertinent.

Laura Bardiot, étudiante en Licence Information et Communication à l’IUT de Dijon

Le milieu de la communication m’intéresse puisqu’il met en relation différentes personnes autour de techniques et de stratégies de communication. Ce domaine est de plus très vaste et permet différentes perspectives d’évolution toutes aussi enrichissantes les unes que les autres. Aimant le contact avec les autres, je pense que ce domaine me correspond très bien.

Ce qui me plaît dans les métiers de la communication, c’est qu’on ne réalise jamais les mêmes tâches : nos missions évoluent en fonction de la vie de l’entreprise donc notre métier évolue en fonction d’elle, c’est une fonction en constante évolution. J’aime beaucoup aussi le fait de devoir faire preuve de créativité et d’originalité pour trouver des idées et les mettre en avant !

Maud, étudiante en BTS Communication

Je suis manager de commerce, j’accompagne les commerçants du département dans le projet de création et de cession.   

Jessy Doin, Responsable de la communication pour Le Club des juristes, témoignage déposé en 2022

Je suis Directeur de la communication et des partenariats du Club des juristes, un cercle de réflexion dédié aux thématiques juridiques. Je travaille quotidiennement avec des professeurs de droit, des grands avocats et des directeurs juridiques pour porter dans le débat public leur lecture experte de l’actualité au travers du prisme du droit.

Anecdote

Jessy Doin, Responsable de la communication pour Le Club des juristes

Toujours garder en tête que, si la motivation et la détermination sont là, la seule chose dont vous avez besoin est d’être informé et soutenu. DYGE est là pour ça et, si un projet professionnel vous tient à cœur, sera là pour vous donner tous les moyens d’y arriver. A cœur vaillant, rien d’impossible 🙂

Maud, étudiante en BTS Communication

J’aspire à créer mon entreprise dans le secteur du commerce.

Roxane Verse, étudiante à l’Ecole de journalisme de Nice

Si tout va bien, j’aurai fini mes études ! Dans le journalisme, on ne sait jamais trop ce qu’on fait demain, encore moins la semaine prochaine ! Alors dans 5 ans … Tout ce que je peux espérer, c’est que je sois dans une radio où j’aime travailler. Sinon, que ce que je fasse quotidiennement me plaise !

Jessy Doin, Responsable de la communication pour Le Club des juristes

Le monde de la communication est un secteur passionnant et protéiforme. Difficile de se projeter au regard de la période que nous avons traversée mais j’aimerais beaucoup conseiller un ou des hommes politiques dans leur communication et dans la valorisation de leur travail pour la société au sein du débat public et leur faire part de mon analyse quant à leurs stratégies.

Gaëlle Mathieu, étudiante en Communication Globale et Stratégie des Marques à Sup de Pub Paris

J’aimerais évoluer dans la communication digitale, et innover afin de mettre en avant l’identité de chaque entreprise pour laquelle je travaillerais.  

Laura Bardiot, étudiante en Licence Information et Communication à l’IUT de Dijon

Au sein d’une équipe soudée, participant à l’élaboration de stratégies de communication d’une entreprise ou d’une marque. J’espère être chargée de communication, de préférence pour un organisme de service public.

Maud, étudiante en BTS Communication

Je pense que je ne changerai rien.

Gaëlle Mathieu, étudiante en Communication Globale et Stratégie des Marques à Sup de Pub Paris

Je ne changerai rien, je suis satisfaite du parcours effectué jusque-là.

Jessy Doin, Responsable de la communication pour Le Club des juristes

Hormis réaliser un ou plusieurs semestres à l’étranger, je suis fier du parcours réalisé.

Roxane Verse, étudiante à l’Ecole de journalisme de Nice

Histoire-géo, géopolitique et sciences politiques, Humanités, littérature et philosophie, Langues, littérature et cultures étrangères, Sciences économiques et sociales

Travaillez votre culture générale ! C’est vraiment important dans ce métier. Même si nous traitons l’actualité, un événement du passé peut facilement refaire surface. Et bien évidemment, les cours ne suffisent pas, il faut lire, écouter, et scruter la presse !

Gaëlle Mathieu, étudiante en Communication Globale et Stratégie des Marques à Sup de Pub Paris

Arts plastiques, Langues, littérature et cultures étrangères

Jessy Doin, Responsable de la communication pour Le Club des juristes

Histoire-géo, géopolitique et sciences politiques, Humanités, littérature et philosophie, Numérique et sciences informatiques

Laura Bardiot, étudiante en Licence Information et Communication à l’IUT de Dijon

Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques, Humanités, littérature et philosophie

Je choisirais Cinéma-audiovisuel, Langues et Littérature et cultures étrangères

Roxane Verse, étudiante à l’Ecole de journalisme de Nice

Si on est passionnée, le travail est un plaisir. Donc on ne compte pas vraiment les heures qu’on fait. On peut savoir à quelle heure on commence, mais jamais l’heure à laquelle on finit ! Cela concerne surtout les stages. Pour les cours, cela dépend surement des écoles, mais cela reste très intense je pense. Il faut savoir être efficace en très peu de temps. C’est pour cela que dès que vous pouvez faire quelque chose, faites-le ! Évitez de remettre à demain ce que l’on peut faire le jour même et anticipez pour éviter de vous retrouver submergés de travail.

Gaëlle Mathieu, étudiante en Communication Globale et Stratégie des Marques à Sup de Pub Paris

J’ai cette année une charge de travail adaptée en entreprise, avec du temps personnel. Concernant les études, il m’arrive parfois de devoir m’organiser pour des rendus de projets et les travaux de long terme. L’idée étant de gérer au mieux son temps.

Jessy Doin, Responsable de la communication pour Le Club des juristes

Ayant passé la majeure partie de mes études en alternance (entreprises de la Tech, cabinet de conseils, institutions bancaires…) il est important de sacraliser un temps dédié pour lire, travailler ses cours, échanger avec ses camarades et faire quelques bons diners/apéros entre amis.

Laura Bardiot, étudiante en Licence Information et Communication à l’IUT de Dijon

La charge de travail est dans l’ensemble stable. Ayant effectué ma première année à distance, je ne peux pas trop avoir un avis objectif puisque nos examens ont eu lieu à distance.

Lorsque l’on est à la fac, il faut faire preuve d’organisation car on est souvent amenés à travailler sur des projets de groupe. Il faut donc être sûr de pouvoir tous se réunir régulièrement pour avancer sur nos différentes missions mais sans laisser de côté les travaux individuels. D’une manière générale, je priorise les tâches, et laisse les moments libres dans la journée pour les consacrer à ces travaux de groupe.

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