Science politique

Cécile, Doctorante en Science Politique

J’ai effectué une licence à Sciences Po Paris puis un master en théorie politique, toujours à Sciences Po. Je viens de débuter une thèse en Sciences Politiques à l’université John Hopkins, aux Etats-Unis.

Barbara, Attachée d’administration d’Etat au ministère de la Mer

Après le bac, j’ai commencé mon cursus universitaire à Sciences Po (Collège universitaire puis master en affaires européennes – alternance dont un échange universitaire en Nouvelle-Zélande). J’ai ensuite effectué une préparation aux concours administratifs à l’IEP de Bordeaux puis suis allée à l’IRA (Institut Régional d’Administration) de Nantes.

Marine, Stagiaire à l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires

Depuis le bac, j’ai effectué ma licence à Sciences Po Paris sur le campus de Menton avec une spécialité liée Moyen-Orient. Dans le cadre de cette licence je suis partie un an en Erasmus en Norvège. Ensuite, je me suis dirigée vers un master Erasmus Mundus en Développement Territorial Durable. Ce diplôme m’a permis de me rendre dans 3 universités : en Italie, Belgique et à Paris. Enfin, j’ai réalisé un stage à l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires, une agence de l’Etat récemment créée.

Adrien, Chargé de mission économie et suivi des dossiers stratégiques pour la Préfecture de l’Yonne

J’ai intégré Sciences Po Toulouse après le Bac en passant le concours commun pendant ma terminale. Après les deux premières années qu’on peut résumer à la théorie générale en sciences sociales et humaines, j’ai réalisé ma troisième année entre un stage au Sénégal (premier semestre) et un Erasmus à Tromsø en Norvège (deuxième semestre). Puis j’ai intégré le Master Gouvernance des Relations Internationales en double diplôme (Sciences Po Toulouse/ Université Toulouse 1 Capitole).

Manon, Etudiante en Licence de Science Politique à l’Université de Lille

J’ai obtenu mon bac ES via le contrôle continu (en raison de la période de Covid-19). En septembre dernier, j’ai débuté ma deuxième année de Licence de Science Politique à l’Université de Lille.

Cécile, Doctorante en Science Politique

J’ai choisi de poursuivre un parcours de recherche par passion, et plus particulièrement en Sciences Politiques afin de mieux comprendre le monde qui m’entoure. La recherche ne connaît pas de routine et de nouveaux sujets à explorer et étudier émergent constamment.

Barbara, Attachée d’administration d’Etat au ministère de la Mer

J’ai choisi ce parcours pour la pluridisciplinarité, la possibilité d’aller à l’étranger, la diversité des intervenants en cours et pour l’alternance, la possibilité de rentrer progressivement dans la vie active tout en étant accompagnée par le corps enseignant.

Marine, Stagiaire à l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires

Ce qui me plait le plus dans mes études c’est la diversité de cultures (et surtout éducatives) que j’ai pu découvrir à travers mes études. Cela m’a permis de relativiser sur certaines pratiques qui ne me semblaient pas optimales.

Adrien, Chargé de mission économie et suivi des dossiers stratégiques pour la Préfecture de l’Yonne

L’aspect très général et le fait que de nombreuses portes soient ouvertes après cette école. Grâce à ce cursus, j’ai développé des compétences de synthèse et d’analyse qui me permettent de comprendre rapidement des sujets sur lesquels je n’ai aucune connaissance. Ce qui me semble être un atout majeur.

Manon, Etudiante en Licence de Science Politique à l’Université de Lille

Lorsque je suis arrivée en terminale, je n’avais absolument aucune idée de ce que je souhaitais faire et je ne savais pas comment m’orienter. En début d’année j’ai passé une heure avec mes professeurs pour chercher des formations potentielles. Ce sont eux qui m’ont conseillé la Licence de Science Politique. J’aimais beaucoup les SES, les sciences politiques et, de manière générale, j’aimais beaucoup la philosophie, l’histoire etc… La licence incarnait donc ce parfait mélange.

Comme beaucoup, j’ai étudié dans un petit lycée à la campagne et j’appréhendais beaucoup de réaliser mes études en ville. Malheureusement, je ne me suis pas beaucoup assise sur les bancs des amphithéâtres puisque ma fac fut fermée aussitôt qu’elle s’est ouverte, en raison de la crise sanitaire. J’ai tout de même pu découvrir ma licence au travers des visioconférences. Je suis très contente d’avoir choisi ces études qui, je pense, me correspondent. Le rythme est quand même exigeant, mais cela reste très enrichissant.

Cécile, Doctorante en Science Politique

La thèse dure 5 ans aux Etats-Unis, elle constitue une bonne partie de mon avenir proche. La suite, je l’espère, sera constituée d’une position universitaire.

Barbara, Attachée d’administration d’Etat au ministère de la Mer

Je pense que je serai susceptible de changer une fois ou deux de poste, toujours dans l’administration, mais dans un autre ministère sans doute et avec des missions d’encadrement et plus de responsabilités.

Marine, Stagiaire à l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires

Aucune idée ! Là où les sujets d’actualité me porteront !

Adrien, Chargé de mission économie et suivi des dossiers stratégiques pour la Préfecture de l’Yonne

Je vais potentiellement rejoindre l’armée en tant qu’officier sur titre ou officier sous contrat.

Manon, Etudiante en Licence de Science Politique à l’Université de Lille

Je ne sais pas vraiment, je serai sûrement en train de poursuivre mes études.

Cécile, Doctorante en Science Politique

Je crois que je ne changerais rien, mais j’aurais pu prendre une année de césure supplémentaire pour travailler, probablement dans un contexte proche de la recherche académique.

Barbara, Attachée d’administration d’Etat au ministère de la Mer

Avoir plus confiance en moi et prendre plus de risques, oser plus en bref.

Marine, Stagiaire à l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires

Si je devais changer quelque chose à mon parcours, je serais sûrement allée dans une école d’agronomie !

Manon, Etudiante en Licence de Science Politique à l’Université de Lille

Je finirais mon année de lycée, mais cela ne dépendait pas de moi !

Cécile, Doctorante en Science Politique

Sciences Politiques

Histoire-géo, géopolitique et sciences politiques, Humanités, littérature et philosophie, Numérique et sciences informatiques, Sciences économiques et sociales

Marine, Stagiaire à l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires

Danse, Histoire-géo, géopolitique et sciences politiques, Sciences de la vie et de la Terre, Sciences de l’ingénieur, Sciences économiques et sociales

Barbara, Stagiaire à l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires

Je pense qu’il faut garder au moins une spécialité plutôt littéraire et une plutôt scientifique car les deux domaines peuvent être très complémentaires et apporter beaucoup tout au long du parcours scolaire et universitaire.

Adrien, Chargé de mission économie et suivi des dossiers stratégiques pour la Préfecture de l’Yonne

Histoire-géo, géopolitique et sciences politiques, Humanités, littérature et philosophie, Langues, littérature et cultures étrangères, Mathématiques, Sciences économiques et sociales

Au niveau d’un cursus à Sciences Po, chacune des spécialités peut être valorisée. D’une manière ou d’une autre, on peut concilier nos passions et cette formation générale qu’est Sciences Po. Le conseil que je peux donner, c’est de faire des choix intelligents qui permettent de réussir le concours (histoire-géo, SES, Humanités et langues), mais également de choisir des spécialités “passion” (que ce soit SVT ou arts du cirque) pour ne pas fermer la porte aux domaines que l’on apprécie le plus.

Manon, Etudiante en Licence de Science Politique à l’Université de Lille

Cinéma-audiovisuel

Histoire-géographie

Géopolitique et sciences politiques

Sciences économiques et sociales.

Je trouve que l’apparition d’options dans l’art (cinéma, théâtre, musique…) est vraiment bien !

Cécile, Doctorante en Science Politique

La vie en thèse, ou en master de recherche, varie énormément d’un établissement à un autre. Mon cursus actuel est assez intensif mais j’ai la chance d’évoluer au sein d’un groupe très social permettant d’allier études et vie sociale/loisirs.

Barbara, Attachée d’administration d’Etat au ministère de la Mer

Je travaillais pas mal le soir pour pouvoir me libérer au moins un des deux jours le weekend. Anticiper ses travaux à rendre en début de semestre et bien les répartir si c’est possible, ne pas attendre la dernière minute car les fins de semestre sont chargées et fatigantes.

Marine, Stagiaire à l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires

Une charge assez lourde que je n’arrivais pas bien à gérer au début mais progressivement j’ai trouvé un bon équilibre entre mes activités associatives, mes jobs étudiants et mes études (et les sorties avec mes amis aussi bien sûr)! Le tout c’est d’avoir de bons modèles dès le début pour s’inspirer.

Adrien, Chargé de mission économie et suivi des dossiers stratégiques pour la Préfecture de l’Yonne

Beaucoup de travaux personnels et en groupe. Je n’ai pas d’organisation particulière.

Manon, Etudiante en Licence de Science Politique à l’Université de Lille

La charge est assez lourde, à hauteur de deux dossiers à rendre par semaine, et des cours magistraux en blocs de 3 heures à suivre et à retravailler. Point positif : le rythme avait été allégé en période de Covid, je n’avais de dossiers à rendre qu’une semaine sur deux. C’était très compliqué de suivre des cours en visio de 3 heures, plusieurs fois par jour.

Personnellement pour les dossiers à rendre, j’essaie de le faire sur plusieurs jours ce qui permet d’avoir plus de recul. Un jour je lis les documents en gardant les éléments importants, le suivant je réponds aux questions, celui d’après je commence ma dissertation…J’avoue qu’il m’est déjà arrivé d’en faire un la veille mais chut !

Barbara, Attachée d’administration d’Etat au ministère de la Mer

Je suis attachée d’administration de l’Etat au ministère de la mer et chargée de mission juridique pour le fonds européen pour la pêche et l’aquaculture.