Présentation des personnes ayant témoigné

En cliquant sur les images, vous pouvez accéder aux témoignages complets de chaque personne (pas encore activé).

Célia Pinet

  • Elève-avocate
  • 23 ans
  • Lycée Chevalier d'Eon (Tonnerre)
  • CPGE ENS D1 (Dijon), Magistère Juriste d'Affaires Européen (Nancy et Salzbourg), EFB (Paris)
  • Témoignage déposé en 2021

Léa Cayzac

  • Alternante
  • 22 ans
  • Lycée Jacques Amyot (Auxerre)
  • CPGE ENS D1 (Dijon), Magistère de Juriste d'Affaires (Dijon)
  • Musicienne, Optimiste et Tenace
  • Témoignage déposé en 2021

Elise Pinas

  • Etudiante
  • 21 ans
  • Lycée Pierre Larousse (Toucy)
  • Double licence droit - administration publique (Aix-Marseille Université), Master en Développement International et Urgences Humanitaires à LSE (Londres)
  • Curieuse, énergique et sérieuse
  • Témoignage déposé en 2021

Mickaël Pagnoux

  • Etudiant
  • 22 ans
  • Lycée Louis Davier (Joigny)
  • CPGE ENS D1 (Cachan), double licence droit - sciences politiques (Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Master en sciences politiques (même université)
  • Sportif et passionné de politique
  • Témoignage déposé en 2021

Laura Gomes

  • Professionnelle
  • 24 ans
  • Lycée Chevalier d'Eon (Tonnerre)
  • Licence de droit (Dijon), Master en droit pénal et sciences criminelles (Montpellier)
  • Ambitieuse, humble et perfectionniste
  • Témoignage déposé en 2021

Tatiana Tanzer

  • Professionnelle
  • 24 ans
  • Lycée Chevallier d'Eon (Tonnerre)
  • Licence de droit (Dijon), Master en gestion de patrimoine (Dijon)
  • Témoignage déposé en 2021

Contenu des témoignages

Célia, élève-avocate à l’EFB (Paris)

J’ai effectué deux ans de classe prépa D1, spécialisée en droit et en économie à Dijon.

Puis, je me suis orientée vers le Magistère Juriste d’Affaires Européen de Nancy (formation sur trois ans ressemblant à une prépa, mais au sein d’une Université qui regroupe L3, M1 et M2), où j’ai effectué ma dernière année en Erasmus en Autriche.

Actuellement, je suis élève-avocat au sein de l’Ecole de Formation du Barreau de Paris.

Léa, étudiante en Master 2 Juriste d’Affaires (Dijon)

A l’issue de mon baccalauréat Scientifique, j’ai pu intégrer la Classe Préparatoire au Grandes Ecoles (CPGE) ENS Rennes D1, en Droit au Lycée Gustave Eiffel de Dijon. Formation de deux années en partenariat avec la Faculté de Droit de l’Université de Bourgogne, la classe préparatoire fut l’occasion de m’exercer régulièrement sur les exercices oraux (khôlles) et de compléter les fondamentaux de droit dispensés par la Fac par des matières telles que l’économie, des mathématiques et des cours de langues.

Après la validation de ces années de classe préparatoire qui s’est concrétisée par l’obtention d’un DEUG en droit (Bac+2), j’ai intégré le Magistère de Droit des Affaires de l’Université de Bourgogne dirigé par le professeur Jean-François HAMELIN. Formation d’excellence, j’ai ainsi pu développer mes connaissances dans des matières ciblées du droit des affaires, notamment en droit des sociétés, matière que j’affectionne particulièrement. En parallèle de la préparation du Magistère (sur trois années), j’ai plus classiquement obtenu les diplômes de L3 et M1 en droit des affaires. Je suis actuellement en M2 ‘Juriste d’Affaires – Commerce, Distribution, Consommation’, master qui s’effectue en alternance. C’est au sein du service juridique du cabinet d’expertise comptable AUDIT GESTION CONSEIL (AGC) que j’effectue cette dernière.

Elise, étudiante à LSE (Londres)

Les 3 premières années post-bac :

Double licence Droit / Administration publique à Aix-Marseille Université (2016-2019)

Diplôme en Sciences Juridiques et Morales à l’Institut Portalis (2017-2019)

Stage à l’Assemblée nationale (2018)

Stage en cabinet d’avocats à Marseille (2019)

Puis une année de césure loin des amphi, où j’ai travaillé :

– Dans un ranch aux États-Unis

– Dans une ONG au Bénin

– Dans un hôtel pour surfeurs en Équateur

Et enfin :

Master en Développement International et Urgences Humanitaires à Londres (LSE)

– Consultante pour l’UNHCR (Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés)

Mickaël, étudiant en sciences politiques (Paris)

Prépa ENS D1 (droit et économie) au lycée de Cachan en double cursus avec Paris 1

Puis double licence de droit et science politique à Paris 1

Actuellement en master 1 de science politique à Paris 1

Laura, juriste pénaliste dans une association (Auxerre)

Faculté de droit à Dijon, obtention d’une licence de droit.

Puis après je suis allée à Montpellier afin d’étudier le droit pénal car je l’avais découvert dans ma licence avec une option.

À Montpellier j’ai effectué un master droit pénal sciences criminelles. Puis j’ai suivi une année de classe préparatoire aux métiers du droit pénal, qui m’a aidé à me préparer au concours d’officier de police. Malheureusement j’ai échoué. Je suis alors revenue dans la région, pendant le Covid.

Tatiana, jeune diplômée d’un Master en gestion de patrimoine (Dijon)

J’ai réalisé une licence en droit, spécialisée dans le droit des sociétés, puis un Master 1 en droit des affaires et enfin, un Master 2 en gestion de patrimoine.

Célia, élève-avocate à l’EFB (Paris)

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu faire du droit et être avocat. Je souhaitais à la base faire du droit pénal, mais je n’ai pas vraiment aimé la discipline et ai découvert que la voie était assez bouchée. Je me suis orientée en droit des affaires car j’ai adoré l’économie en prépa et les enjeux qui en découlent.

Dans l’ensemble, j’ai beaucoup aimé mes études, qui ont été très variées. J’ai eu la chance de connaître à la fois le système de la prépa et le système universitaire ainsi que d’avoir eu plusieurs expériences à l’étranger.

Léa, étudiante en Master 2 Juriste d’Affaires (Dijon)

Ce qui me plait dans le droit des affaires est l’aspect littéraire/mathématique. Nous rédigeons beaucoup mais il faut aussi avoir un esprit clair et précis, cartésien. J’aime particulièrement le droit des sociétés qui est pour moi la parfaite alliance du droit et de l’économie. J’apprécie venir en aide à des entrepreneurs pour les aider à développer leur projet et leur assurer la meilleure sécurité juridique.

Elise, étudiante à LSE (Londres)

J’ai toujours voulu faire ma vie à l’étranger et je me lasse assez vite, alors une carrière en développement international, où on enchaîne les missions de pays en pays, me convient parfaitement. Et puis je voulais un job qui ait du sens, apporter une petite contribution à l’aide humanitaire s’est donc imposé !

Laura, juriste pénaliste dans une association (Auxerre)

L’apprentissage des lois, de leur histoire, du droit pénal.

Durant le parcours universitaire il y aura forcément des matières par lesquelles nous sommes moins attirés…. Je pense directement au droit européen… C’était vraiment pas ma matière préférée. Mais il faut avoir des bases dans tous les domaines de droit. Mais lorsque j’ai découvert le droit pénal, c’était une évidence. Une évidence aussi parce que j’ai toujours voulu exercer dans les forces de l’ordre.

Tatiana, jeune diplômée d’un Master en gestion de patrimoine (Dijon)

Ce qui m’a plu dans ce parcours, c’est notamment la polyvalence des enseignements, mais aussi les nombreux débouchés possibles une fois les études terminées.

Célia, élève-avocate à l’EFB (Paris)

J’espère être avocat en droit des affaires, et pourquoi pas travailler à l’étranger si l’occasion se présente.

Léa, étudiante en Master 2 Juriste d’Affaires (Dijon)

Avocate : J’apprécie particulièrement avoir plusieurs clients (portefeuille de clients) car il est particulièrement enrichissant de rencontrer des entrepreneurs de divers horizons. Afin de donner un point d’orgue à mon cursus universitaire, je souhaiterais passer l’examen du CRFPA pour devenir avocate en droit des affaires, droit des sociétés dans les aspects ‘conseil’ et éventuellement ‘médiation’ du métier.

Elise, étudiante à LSE (Londres)

Faire partie d’une équipe de management de l’aide aux urgences humanitaires (conflits armés, catastrophes naturelles…): planifier les missions de la Croix-Rouge ou WFP, le rêve.

Laura, juriste pénaliste dans une association (Auxerre)

Officier de police à la brigade des mineurs ou bien la brigade s’occupant de toutes les violences intra familiales – les crimes et délits commis par des mineurs au sein d’une famille…. J’en vois déjà beaucoup actuellement et c’est la raison pour laquelle je souhaiterais vraiment exercer dans ce domaine, très prenant.

Tatiana, jeune diplômée d’un Master en gestion de patrimoine (Dijon)

Dans 5 ans, j’aimerais me voir épanouie dans un travail qui me plaît.

Léa, étudiante en Master 2 Juriste d’Affaires (Dijon)

J’améliorerais mon anglais. Si j’avais su… Au lycée d’abord, j’aurais pris la filière ‘Anglais Euro’ en plus de mon option musique. (Car finalement je me rends compte aujourd’hui que ce n’était pas tant de travail en plus…) Ensuite, je n’aurais pas tant compté sur mes professeurs pour devenir bonne en anglais mais sur moi-même (regarder les séries en anglais et non en français)… En effet, hormis quelques exceptions (en Terminale et en M2 notamment avec des profs géniaux), tous n’ont pas toujours été à la hauteur…

Elise, étudiante à LSE (Londres)

Je mettrais le paquet sur l’apprentissage de l’anglais et l’espagnol, on néglige beaucoup trop les langues et ça devient essentiel quasiment partout.

Mickaël, étudiant en sciences politiques (Paris)

Mon domaine de prédilection était l’économie, j’étais le meilleur de ma prépa dans cette matière, je regrette de pas avoir fait une double licence économie et science politique.

Célia, élève-avocate à l’EFB (Paris)

Histoire-géo, géopolitique et sciences politiques, Humanités, littérature et philosophie, Mathématiques

En ce qui concerne le droit, il n’y a pas de spécialité “obligatoire” à prendre. Cependant, je conseillerais de prendre au moins une matière de spécialité “littéraire” qui permet d’effectuer des dissertations ou des commentaires, dont la méthodologie est très utile pour la suite (comme HLP ou HGSP).

Pour ce qui concerne la prépa D1, étant donné le fort impact de l’économie, je recommanderais de garder les maths jusqu’en Terminale (pourquoi pas abandonner les maths à la fin de la Première et prendre l’enseignement de maths optionnel en Terminale).

Elise, étudiante à LSE (Londres)

Histoire-géo, géopolitique et sciences politiques, Humanités, littérature et philosophie, Langues, littérature et cultures étrangères, Mathématiques, Sciences économiques et sociales

Mickaël, étudiant en sciences politiques (Paris)

Histoire-géo, géopolitique et sciences politiques, Humanités, littérature et philosophie, Mathématiques, Numérique et sciences informatiques, Sciences économiques et sociales

Laura, juriste pénaliste dans une association (Auxerre)

Danse, Langues, littérature et cultures étrangères, Mathématiques, Sciences de la vie et de la Terre

Tatiana, jeune diplômée d’un Master en gestion de patrimoine (Dijon)

Arts plastiques, Cinéma-audiovisuel, Histoire-géo, géopolitique et sciences politiques, Langues, littérature et cultures étrangères

Célia, élève-avocate à l’EFB (Paris)

La charge de travail a globalement toujours été plutôt intense mais différente.

En prépa, le travail était toujours à court-terme entre les khôlles, les DS tandis qu’en Magistère, il y avait moins d’échéance mais le travail était de plus longue haleine.

Dans l’ensemble, j’essayais de toujours assister aux cours magistraux (qui ne sont pas toujours obligatoires) ce qui me permettait déjà d’assimiler les cours que je devais reprendre en plus.

Pour mon organisation personnelle, j’étais (et suis toujours) une grande adepte des listes ou des emplois du temps, dans lesquelles j’inscrivais ce que je devais faire et à quelle échéance afin d’avoir une vision globale de ma semaine.

Léa, étudiante en Master 2 Juriste d’Affaires (Dijon)

La charge de travail est IMPORTANTE. L’organisation ? Vaste question, cela dépend de chacun. Je dirais qu’un bon code couleur est un plus.

Elise, étudiante à LSE (Londres)

La charge de travail est énorme, entre la double licence et un master à LSE, je n’ai pas chômé. Mon conseil : l’organisation et prendre soin de soi.

Pour l’organisation :

Chacun sa méthode, la mienne était un emploi du temps par semestre avec un code couleur (gros budget stabilos) : en rouge ce que je ne pouvais pas rater (les TDs obligatoires par exemple), en vert ce qui était optionnel (économiser son énergie est important !). Et à côté, un tableau avec toutes les deadlines (histoire de pas capter 1 jour à l’avance qu’il y a un énorme devoir à rendre pour le lendemain).

Pour le reste :

La santé (mentale et physique) est super importante, des études post-bac c’est un peu comme un marathon. On a besoin d’un équilibre : du travail certes, mais aussi une vie sociale, du sport, une bonne alimentation et des moments où on déconnecte.

Mickaël, étudiant en sciences politiques (Paris)

La charge de travail est particulièrement élevée, encore plus en double licence qu’en prépa. Il faut jamais se laisser dépasser en s’y mettant toujours le plus tôt possible.

Tatiana, jeune diplômée d’un Master en gestion de patrimoine (Dijon)

La charge de travail en sortant du bac m’a paru assez intense. Le meilleur conseil que je puisse donner, c’est de réaliser des fiches de révision suffisamment en amont des examens, ça pourra vous sauver, notamment en droit.

Léa, étudiante en master 2 Juriste d’Affaires (Dijon)

Assistante juridique en alternance : Je ne suis pas encore professionnelle mais l’alternance est un premier pas vers le monde du travail. Aujourd’hui, mon métier d’assistante juridique au sein d’un cabinet d’expertise comptable me permet d’appréhender la vie courante des sociétés. Le cabinet a la gestion des formalités courantes d’un portefeuille de sociétés, c’est-à-dire constitutions, transferts de sièges, augmentations et réductions de capital, dissolutions, liquidations, rédactions de baux commerciaux.

Laura, juriste pénaliste dans une association (Auxerre)

Juriste dans une association d’aide aux victimes et de réinsertion sociale pour les auteurs d’infractions pénales

Naviguer dans notre guide Les études, tu t’y connais

Rechercher un article